Comprendre les symboles bouddhistes

Dans le monde bouddhiste, les symboles sont le parasol, la conque, les poissons jumeaux, la roue de prière, l’urne, la bannière, le nœud et la lotus. Selon la légende, ces symboles avaient été offerts par les divinités au Bouddha au moment de la naissance de ce dernier en reconnaissance de sa noblesse ou de sa royauté. Alors, que signifie chaque symbole ?

L’Ashtamangala et sa signification

L’Ashtamangala représente un groupe de huit symboles qui sont de bon augure. Dans l’hindouisme comme dans le bouddhisme, ils sont très sacrés. Même les sikhs leur accordent une grande signification. L’ordre et la nature des éléments varient visiblement. La liste la plus nettement diffusée, surtout vers le début du XXIème siècle, est celle constatée dans le monde bouddhique, en parlant de signification symbole tibétain. Personne ne peut nier particulièrement, par exemple, le vajrayāna. Tout d’abord, ces huit symboles apparaissaient en Inde au moment du sacre du roi ou de l’empereur. Une ancienne liste énumère un trône appelé svastika, un nœud, une empreinte de main. Il y a autant une sorte d’urne aux trésors, deux poissons, et une aiguière avec un bol couvert. Bref, vous pouvez faire des recherches en ligne pour de plus amples informations sur la signification symbole tibétain.

Les huit signes du bouddhisme

Vous avez déjà peut-être rencontré dans les monastères ou dans les temples bouddhistes tant d’objets rituels comme les statues de Bouddha et celles des autres divinités, des moulins à prière et même des tableaux peints. Si les uns sont exclusivement des objets portant le titre de symbole du bouddhisme, d’autres sont en commun avec l’hindouisme. Beaucoup de sympathisants et de fidèles au bouddhisme achètent ces reliques pour les employer dans des pratiques régulières. Certains les placent tout simplement chez eux pour qu’elles leur génèrent une sensation ou une impression de bien-être, de calme et de zen. Il est ainsi très intéressant d’avoir une bonne compréhension sur ce que c’est un signe bouddhiste et ces objets sacrés. Dans le bouddhisme, il existe huit symboles auspicieux dérivant de l’iconographie indienne. Ils représentent des offres des divinités faites à Gautama Siddhârta après qu’il soit illuminé. Vous pouvez les trouver dans l’art de nombreuses des écoles du bouddhisme, notamment dans le bouddhisme tibétain. Dans quelques monastères chinois, par exemple, les symboles sont bien placés sur des soubassements en lotus, juste en face des statues du Bouddha. En Asie, pour le bouddhisme, la conque a toujours été en usage à titre de cor de bataille. Jadis la conque blanche symbolisait la caste Brahmane, chez les Hindous, bien-sûr. Pourtant, il devient un symbole bouddhiste. Dans le bouddhisme, les conques blanches représentent la voix du dharma permettant d’éveiller les êtres.

Protection et bonne fortune

Tant de gens pensent que le parasol ou l’ombrelle s’agit d’un simple parapluie ordinaire. Techniquement, le parapluie protège son propriétaire contre la pluie et la grêle tandis que le parasol défend contre la chaleur. Tout d’abord, sachez qu’il symbolise la dignité royale et représente la protection face à chaleur émise par le soleil. Dans ce cas, dans le monde spirituel, le parasol et l’ombrelle symbolisent la protection contre les problèmes, contre les accidents, et même contre les maladies. Il représente autant la joie de la fête dans des actes positifs. Quant aux deux poissons que vous constatez parfois dans des temples et monastères, ils étaient jadis selon la légende l’emblème du Gange et d’Yamuna qui sont deux rivières traversant l’Inde, terre de naissance du Bouddha. Sur le plan spirituel encore, ce sont le symbole de la richesse et de la bonne fortune, ainsi que de la prospérité et de fertilité. Les deux religions, bouddhistes et hindouistes, embrassent cette même croyance. Chez les bouddhistes, les poissons jumeaux symbolisent autant les êtres vivants pratiquant le dharma, y compris les êtres humains, et qui ne devant pas avoir peur de se perdre dans l’océan de tourment et de souffrance puisqu’ils peuvent migrer librement tels des poissons dans l’eau. C’est peut-être ce que veut dire également dire le tatouage om tibetain sur le corps de certains partisans du bouddhisme.

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